Appelez le spécialiste
Les spécialistes sectoriels de RBC Banque Royale offrent
aux producteurs ce qu’ils veulent : un vrai savoir-faire
et la passion de leur métier.
RBC Banque Royale a été la première, dans
les années 1960, à offrir aux agriculteurs les
services spécialisés de directeurs de comptes
qui avaient étudié et reçu une formation
en agriculture. Puis, dans les années 1980,
RBC a commencé à ouvrir des centres
de services agricoles un peu partout au
pays, où les clients pouvaient profiter des
services de spécialistes du financement
agricole. Aujourd’hui, pour soutenir des
secteurs de plus en plus complexes sur
le plan technique, RBC a formé des
spécialistes capables de servir les besoins
particuliers de chacun.
Ces spécialistes donnent aux fermiers
canadiens ce qu’ils attendent d’une
banque : un savoir-faire sectoriel et une
compréhension de la nature cyclique de
leur domaine d’activité.
« Le secteur laitier connaît bien des
bouleversements aujourd’hui, et c’est un
réconfort pour les clients de pouvoir obtenir
des conseils de quelqu’un qui connaît très
bien ce secteur », dit Janice Tait, directrice de
comptes à Sussex, au Nouveau-Brunswick,
qui se consacre presque exclusivement aux
producteurs de lait.
Mme Tait s’occupe des clients dans un rayon
de 120 km autour de Sussex, considéré
comme le grand centre laitier du Nouveau-
Brunswick. Comme elle travaille dans ce
secteur depuis très longtemps, elle sert
souvent de mentor aux nouveaux employés
des services agroalimentaires.
Elle a grandi dans le lait
Mme Tait a grandi sur l’exploitation laitière
familiale, près de Sussex, aujourd’hui dirigée
par son père et son frère. Après avoir passé
dix-huit ans loin de chez elle, pour ses
études et ses premières années de travail,
elle est revenue à Sussex en 1996 pour
travailler dans la région et dans un secteur
d’activité qu’elle connaît depuis son enfance.
Parmi ses nombreuses activités agricoles,
elle a dirigé jadis le cercle 4-H de sa région
et sa fille en est membre aujourd’hui.
« Il est très important pour les exploitants
laitiers que leur banquier ou futur banquier
soit actif dans le secteur, dit Mme Tait.
Avant même de commencer à utiliser vos
services professionnels, les gens jugent ce
que vous valez et l’intérêt que vous portez
à votre travail d’après les comités auxquels
vous participez. Ils repèrent tout de suite
si votre intérêt est vraiment sincère. »
Comme elle connaît bien ce secteur, elle
peut aider ses clients à comprendre et à
réagir à toute sorte de questions liées à la
réglementation. Vers la fin de 2006, par
exemple, elle a accompagné la délégation
des producteurs de lait du Nouveau-
Brunswick qui s’est rendue au Québec
pour étudier les possibilités de production
biologique et les systèmes de traite
automatisée.
Lorsqu’elle songe à ses dix années comme
spécialiste de l’industrie laitière, elle est
fière de tout ce qu’elle a fait pour ses clients.
Elle raconte avec affection le parcours d’un 1
Hollandais venu s’installer au Nouveau-
Brunswick. En plus d’apprendre l’anglais
et de s’adapter à un nouveau pays, il devait
aussi se familiariser avec les mystères de
l’industrie laitière canadienne. Avec un peu
d’aide, il a fait des progrès remarquables
en peu de temps.
« Il est considéré aujourd’hui comme l’un
des principaux producteurs de la province,
affirme Mme Tait tout sourire. Je suis
heureuse de dire que je suis une spécialiste
du lait depuis le premier jour et que j’aime
vraiment cette industrie. »
Savoir-faire et expérience sont très
importants dans les marchés cycliques
Depuis que les États-Unis ont rouvert leur
frontière aux bovins canadiens sur pied, en
juillet 2005, la situation des clients de Steve
Craig est peu à peu revenue à la normale.
Un des grands enjeux actuellement est la
hausse du prix des céréales fourragères.
Comme spécialiste de l’industrie et
banquier, il comprend les changements
cycliques auxquels ses clients sont soumis.
« L’orge fourragère se vendait 110 $ la tonne
en septembre 2006, explique M. Craig,
directeur de comptes de RBC, à Lethbridge,
en Alberta, qui travaille avec des exploitants
de parcs d’engraissement installés entre
Calgary et la frontière du Montana. Le prix
a grimpé à 165 $ la tonne à la fin de 2006,
une hausse de près de 50 % sur un an. »
Ses clients comptent sur le savoir qu’il
a acquis et peaufiné en se consacrant
entièrement à ce secteur. Cette
spécialisation fait de lui plus qu’un
fournisseur de services bancaires, un
véritable conseiller sur les questions
agricoles et financières qui a toute la
confiance de ses clients. Parce qu’il a pris
le temps de comprendre leur industrie et
leur travail, ils lui demandent souvent
conseil sur une foule de questions.
« Si les clients cherchent quelque chose,
par exemple le meilleur logiciel pour la
production, un comptable ou un conseiller
en production qui connaît vraiment le
monde des parcs d’engraissement, vous
ajoutez beaucoup de valeurs à vos services
en les aidant à trouver ce qu’ils veulent,
dit M. Craig, qui a grandi sur une ferme
dans le sud de la Saskatchewan. Lorsque
les marges sont assez minces, ce que vous
faites pour les aider compte beaucoup
pour eux. »
Le secteur canadien de l’engraissage
a connu plus de vicissitudes en cinq
ans que d’autres secteurs en vingt ans.
M. Craig est heureux d’avoir pu aider ses
clients à s’adapter et à prospérer dans
un environnement en évolution rapide.
Comme Janice Tait au Nouveau-Brunswick,
il travaille dans un secteur qu’il adore.
« J’aime le secteur de l’engraissage en
raison de la complexité des décisions que
les producteurs prennent chaque jour,
qu’il s’agisse de questions financières de
base ou de taux de change, de contrats
à terme ou de fonds de couverture. Nous
avons un excellent groupe de producteurs
qui sont aussi des gens avec lesquels il est
extrêmement plaisant de travailler. Pour
moi, c’est un secteur en or. »
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